PROFONDEURS
Une installation de Lucie Lom – Collégiale Saint-Martin à Angers – du 21 septembre 2024 au 26 janvier 2025.
Images vidéos : Olivier Guillemain – Création musicale : Patrice Grupallo
Avec cette nouvelle œuvre immersive et sensorielle, Lucie Lom transfigure la collégiale pour accueillir les métamorphoses et la fluidité du mouvement perpétuel de la vie. De la microscopique cristallisation de la glace à l’amplitude de la houle, du court instant de l’impact d’une goutte de pluie à la surface de l’écume, aux temps longs de la vie des astres, les échelles du temps et de l’espace sont bousculées. Une onde vaste et ample accueille ces images sur toute la surface du monument ; elle est le miroir des profondeurs de notre planète et de l’univers.
Bande annonce : Krysalid Films
Photographies : Christophe Martin
Reportage d’Arte sur l’installation : Image, Christian Mignard ; Montage, Y. Guenot ; Journaliste, P. Bon ; Son , S. Gobaut-York – Arte France 2024
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LE FORT IMMERGÉ
Parcours immersif dans les fonds marins des pertuis – scénographie pérenne – Fort Liédot, île d’Aix (33) –
Le parcours immersif dans les fonds marins des pertuis ouvre ses portes au public à l’île d’Aix !
Dans les 400 m2 rénovés de l’un des 4 bastions du fort Liédot, un parcours poétique et sensible emmène le visiteur dans la mer des Pertuis, entre continent et océan.
Notre mise en scène mêle images peintes et animées, vidéos réalisées dans les pertuis ou aux portes de l’océan, compositions conjuguant images réelles et imaginaires, et une création musicale orchestrant l’ensemble de la visite. Le parcours conduit le visiteur dans les 7 salles du bastion, des airs aux estrans de l’île d’Aix, dans les courants des profondeurs, l’eau trouble des estuaires, dans un monde aquatique incroyablement vivant, à quelques encablures de la rumeur des hommes…
Ici se raconte la mer des Pertuis entre îles, continent et océan,
où se rencontrent eaux douces et eaux salées
Au cœur du fort, les pierres s’animent du foisonnement des vies
Le vent souffle sur les rochers, les sables et les vasières
Les marées révèlent faune et flore
Les vagues murmurent des histoires de vers bâtisseurs et font danser les algues
L’eau trouble s’éclaircit, dévoilant les espèces qu’elle protège
La vase, écrin nourricier, abrite des myriades d’occupants invisibles
Les courants des profondeurs nous entrainent en des paysages insoupçonnés
Et dans la lumière, des poissons argentés croisent les sillages des Hommes
Abondant et fragile, le vivant est partout…
Scénographie : Lucie Lom / Muséographie : Laurence Chabot / Création musicale : Patrice Grupallo / Peinture animée : Raphaëlle Martinez / Vidéo Mapping : Olivier Guillemain & Christophe Loiseau / Décors : 47 Nord
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LE MYSTÈRE DES FALUNS, 10 millions d’années sous terre, 10 ans
Parcours scénographié pérenne – Les Perrières, Doué-la-Fontaine (49) – 2024
Le Mystère des Faluns a 10ans!
À cette occasion nous avons imaginé trois nouveaux espaces scénographiés.
Après les épisodes du Miocène, nous nous rapprochons de la roche de falun, de sa longue histoire et de son matériau singulier qui sera exploité par les hommes jusqu’au XXe siècle, créant ainsi les galeries que nous visitons.
Du fossile à la pierre
Notre nouvelle mise en scène raconte le long processus qui a constitué le falun, par la transformation au fil du temps de la vie du Miocène en la roche que nous connaissons aujourd’hui.
La chambre d’extraction
La salle suivante raconte le travail d’extraction dont résultent ces caves majestueuses. On assiste à un ballet d’échelles et de blocs, tandis que les lumières du jour, de la lune, de la lampe à carbure nous suggèrent le passage du temps.
Souvenirs de carriers
Comme si elles habitaient encore les lieux, les voix des carriers racontent leurs souvenirs, nous accompagnant vers la fin du parcours.
Scénographie et Story-boards : Lucie Lom
Vidéo Mapping : Olivier Guillemain
Création musicale : Patrice Grupallo
Avec les voix de Jean Guichard et François Samson
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« DANS L’ENCRE DES RÊVES » LE LIVRE
Une édition crée par Lucie Lom et produite par Grand Patrimoine Loire-Atlantique en 2024
Réçit graphique inspiré des manuscrits médiévaux et de l’installation avec de nombreux rêves inédits. En vente au Château de Chateaubriant et au Musée Dobrée.
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L’AIGRETTE
Une sculpture de Lucie Lom – Dans le cadre du fil artistique paysager Loire Layon Aubance (49) – 2023
L’Aigrette flotte sur l’horizon, ancrée entre ciel et eau. Ses rames déployées traduisent un départ imminent ou une arrivée récente; nous tous, qui pratiquons ou contemplons le fleuve, nous plairons à embarquer pour ce rêve suspendu.
Vous pourrez la découvrir en flânant du côté du port de La Possonnière à proximité de la Guinguette Les Tourbillons.
Cette première sculpture inaugure le Fil artistique paysager CC Loire Layon Aubance. D’autres œuvres enrichiront le parcours dès l’année prochaine.
Conception : Lucie Lom – Réalisation : La Mutine (44) – Photographies : SiscoVidéo
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DANS L’ENCRE DES RÊVES
Une installation immersive – Château de Châteaubriant (44) – jusqu’au 29 septembre 2024
Images vidéos : Olivier Guillemain – Création musicale : Patrice Grupallo
Sources des rêves, des livres d’heures s’ouvrent à leurs plus belles pages dans le salon de lecture de Françoise de Dinan.
Réalisation du clip vidéo © Mathieu Moch – département loire atlantique
Photographies : © Jef Rabillon photo 1 – © Paul Pascal photo 2
Contact / Diffusion : contact@lucie-lom.fr
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LE MYSTÈRE DES FALUNS, 10 millions d’années sous terre
Parcours scénographié pérenne – Les Perrières, Doué-la-Fontaine (49) – 2022
Voilà déja huit ans que s’est ouvert, sous notre direction artistique et scénographie, le Mystère des Faluns aux Perrieres de Doué-la-Fontaine.
Cette année, nous présentons une toute nouvelle version des Théâtres marins. À cet endroit du parcours, la présence de l’eau révélée par le miroir d’eau , s’enrichit des vies qui la peuplent et des imaginaires qui s’y cachent.
Les laminaires du premier espace prolongent la rêverie autour de l’eau en suggérant sa profondeur, ses courants légers, ses formes de vie végétale.
La cavité suivante évoque également le monde subaquatique, mais en mettant en scène sa faune. Ici les éclats lumineux des poissons les rendent visibles sous l’eau mais aussi au dessus. Le résultat donne un ballet autant aquatique qu’aérien, avec des poissons plus nombreux dont les reflets se démultiplient sur les parois de la cave.
Création Vidéo : Olivier Guillemain – Création musicale : Patrice Grupallo – Photographies : Jef Rabillon
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L’ARBORESCENCE DES RÊVES
Installation – carte blanche avec le Théâtre de Laval – Cour du Château – 2021
À la nuit tombante, des hommes, imperturbables et énigmatiques semblent avoir suspendu leur marche. Leurs visages et leurs vêtements prennent la teinte indéfinissable des songes. Les yeux clos, ils rêvent…
Depuis les points hauts du château de Laval, des lampes tempêtes révèlent leurs silhouettes dans le crépuscule.
Avec un apparent détachement, ils observent un de leurs semblables que des racines lient encore au sol. Avec évidence et sans effort, celui là paraît avoir poussé là. Il sera rejoint par deux autres dont les racines aussi s’extirpent du sol puis par ceux qui, en bas, de couleur terre pareillement vêtus, semblent aussi vouloir gagner la lumière. Leurs histoires les relient, à moins que ce ne soient leurs rêves ? Par la présence de ces Rêveurs, les paysages devant lesquels nous passons chaque jour, deviennent le théâtre des songes de ces personnages hors du temps. Nul ne saura d’où ces Rêveurs venaient, ni où ils allaient.
Ils garderont leur mystère et laisseront de leur passage une relecture poétique des lieux..
Création Vidéo : Olivier Guillemain – Création musicale : Patrice Grupallo – Photographies : Jef Rabillon
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CANONNADE POÉTIQUE
Œuvre artistique pérenne dans l’espace public – Rochefort-sur-mer (17) – 2020
Les canons de Rochefort- sur-Mer pointaient autrefois depuis la cité vers l’extérieur. Aujourd’hui, comme sous l’effet d’un miroir du temps et de l’espace, les canons se retournent vers la ville. Aussi «performatifs» qu’autrefois, leurs tirs sont à présent silencieux et magnifiques. Tirant à l’aveugle, ils éclaboussent façades et parterres de leurs lettres blanches qui s’agencent en mots et en phrases…
À les lire de plus près, ces textes sont porteurs d’horizons et de désir d’ailleurs. Ce sont des invitations aux voyages intérieurs ou par-delà les mers. À chaque fois les mots émergent du désordre des lettres comme s’ils avaient leurs vies propres, pour s’assembler et former du sens.
Les remparts, l’arsenal ou le lycée Marcel Dassault accueillent le beau chaos provoqué par ces tirs. Ces lieux évocateurs d’un passé militaire s’habillent aujourd’hui de pensées poétiques. Des maux aux mots, c’est le dialogue du passé au présent que ces canons proposent aujourd’hui au promeneur, dans une installation à la fois disruptive et méditative..
Contact / Diffusion : contact@lucie-lom.fr
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LA CLAIRIÈRE ENVISAGÉE
Une installation de Lucie Lom – Carte blanche à la Confluence à Betton – du 18 septembre 2021 au 06 février 2022.
Dans un espace aux limites avalées par la pénombre, des souches exposent à la lune les tranches encore vives de leur coupe.
Le chêne, l’aulne, l’érable qu’elles étaient vivent encore un peu. Leurs cernes en s’agençant lentement les unes aux autres composent des profils humains qui s’épanouissent, s’évanouissent, puis réapparaissent. Les profils sont allusifs mais ils confèrent aux souches une identité troublante. Seraient-ce des miroirs tendus à chacun de nous ? Ou le signe d’une permanence de vie ?
Création Vidéo : Elisa Fache – Création musicale : Patrice Grupallo – Photographies : Jef Rabillon
Contact / Diffusion : contact@lucie-lom.fr
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S Y L V A
Une installation de Lucie Lom – Carte blanche à la Collégiale Saint-Martin à Angers – du 19 septembre 2020 au 31 janvier 2021.
Images vidéos : Olivier Guillemain – Création musicale : Patrice Grupallo
Cette installation invite les visiteurs à pénétrer progressivement dans une forêt dont on ne mesure pas les limites.
Comme dans un rêve, les arbres émergent de la pénombre. Frémissants et argentés, ils semblent parcourus de sève et de vent. Le soleil se faufile entre leurs branches, réveille des oiseaux invisibles, et révèle des feuillages ondulants. On entre dans cette forêt comme dans une maison habitée : avec discrétion, tenant compte de ce qui vit là. C’est l’imaginaire qui guide les pas ; rêveur, on observe autour de soi, on contemple et on écoute.
Photographies 1 et 3 Jef Rabillon Photographie 2 Christophe Martin – Vidéo : Créative Corner
Contact / Diffusion : contact@lucie-lom.fr
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L’EAU DESSINÉE
Exposition sur l’eau dessinée dans l’illustration, la bande dessinée, l’animation à la fondation d’art contemporain François Schneider. Scénographie Lucie Lom. Du 25 octobre 2019 au 29 mars 2020 à Wattwiller.
Une grande vague de papier traverse l’exposition dans son sillage le visiteur découvre l’eau dans tous ses états de la ligne claire à l’animation en passant par la bande dessinée. Le papier virevolte dans tous les espaces de la Fondation pour révéler la matière de l’eau, son lien avec le paysage et l’environnement, les narrations du voyage et des mondes imaginaires, ou encore son rapport à l’homme et au corps, avec notamment la tradition des bains.
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DANS LES BRAS DE LA FORÊT
Une installation de Lucie Lom – Carte blanche à la Maison du Parc à Montsoreau du 6 juillet au 4 novembre 2018
Dans la pénombre ambiante, de cet entrelacs de branches et de feuillages, on distingue un personnage endormi. Imposant mais fragile, immobile et paisible, il paraît dormir. On discerne maintenant son visage, les lignes de son corps. Peut-être rêve-t-il ? D’arbres balancés dans le vent, de sources sous l’humus, de chutes de feuilles… Le chant de trois oiseaux et le bois qui craque paraissent veiller sur lui. Le nid au creux de ses bras, les sons au cœur des branchages manifestent la vie qui s’éveille en son sein.
Cette installation poétique et immersive est à découvrir à Montsoreau jusqu’au 4 novembre.
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L’ARBRE A RÊVES
Une installation de Lucie Lom – Carte blanche à l’occasion du Festival de Loire 2017 – Orléans Septembre 2017.
Comme à chacune de leurs errances, les Rêveurs semblent s’être échoués ici, à Orléans, par hasard. Sur une des Îles de la Loire, une scène intrigue le regard. Le tableau est immobile, l’action figée dans le temps. D’étranges personnages immobiles, les Rêveurs, s’affairent autour d’un arbre mort ; un de ces arbres qui poussent au gré des crues et des bancs de sables. L’arbre est mort, mais il est toujours debout. Les rêveurs le veillent-ils? Où tentent-ils de le ranimer? L’arbre semble reprendre vie, mais dans le monde des rêves : ses reflets or scintillent dans le soleil.
A la nuit tombée l’arbre Irrigue la petite Île de ses lueurs. Les reflets lumineux jouent avec le courant. Une toue approche doucement de la petite île. Une autre toue accoste suivie d’une autre… Elles apportent d’autres lueurs plus nombreuses. Aux côtés des Rêveurs, elles veillent l’Arbre.
